Quand Aïa demande un « ien » à son papa, celui-ci lui répond qu'il faut mettre les formes pour obtenir ce que l'on souhaite. Le faisant, elle obtient un mignon chiot baptisé Médor pour des raisons pratiques de prononciation. La gourmandise du canin s'avère problématique à partir du moment où il n'entre plus dans sa niche spécialement conçue pour lui. Ne sachant que faire de ce maxichien devenu trop encombrant, le père d'Aïa envisage de s'en débarrasser. Mais le molosse cache une personnalité hors du commun qui lui sauve la mise...

Cette joyeuse et loufoque comédie tchèque est un régal des sens. Avec sa taille de Cerbère, ce maxi cabot au cœur tendre sauve Aïa de la noyade, boit un tonneau de bière, parle couramment les langues étrangères et gagne une course de chevaux. Les illustrations alternent bichromie et polychromie, apportant ainsi une touche supplémentaire à la narration du récit.
Médor le maxichien, alias Maxipes Fik, est à l'origine un personnage de littérature enfantine tchèque qui a été adapté en série télévisée pour la première fois en 1975 par le réalisateur Rudolf Cechura et l'illustrateur Jirí Salamoun.

Emmanuelle Pelot

Présentation par l'éditeur

Quand les parents d’Alenka lui achète « un petit chiot tout mignon », ils ne se doutent pas de ce qui les attend. Médor grossit très, très vite. La boîte à chaussures dans laquelle il dort devient trop petite. On lui offre alors un panier puis une niche, puis une niche pour deux chiens et une niche pour trois, mais rien n’y fait.