L'ogrelet

Quand l’ogrelet va à l’école, il découvre le rouge. Puis il apprend que ce n’est pas un enfant comme les autres. C’est le fils d’un ogre que sa mère a aimé.
J’ai beaucoup aimé cette pièce de théâtre parce que Simon est très courageux.

L’ogrelet vit seul avec sa mère à côté d’une forêt. Le premier jour de la rentrée, il constate sa différence : il est fils d’ogre, sa mère a une lettre de son père. Il devra effectuer trois épreuves que son père n’a pas réussies.
J’ai aimé ce livre car j’adore les ogres : je l’ai dessiné avec une chemise repassée et une culotte longue. Il lèche le sang et il le dit.

L’ogrelet va à l’école à 6 ans. Sa mère est divorcée. Ça lui fait bizarre que les autres enfants soient tout petits…
On peut voir, une fois la 1ère et la 4ème de couverture dépliées, une grosse boule coupée en haut. Cela fait peur car on croit qu’elle va nous écraser ! Le vert exprime le dégoût et un rond noir donne un aspect comme un gros raisin.
Le résumé est dans une police qui va du plus grand au plus petit et on sent qu’il va vous arriver quelque chose. Ça donne envie de lire. Le texte du résumé déborde sur l’image, parfois non.
L’auteur nous dit qu’on peut croire aux légendes. Qu’en fait, il y a des animaux dangereux et d’autres qu’il faut comprendre. Est-ce que nous pouvons communiquer avec eux au lieu de dire à l’avance que ce sont des bêtes féroces ou agressives ?
Le texte exprime de la joie, de la peur avec le sang et la tristesse de la mère. L’absence d’illustration ne coupe pas le rêve. Le livre se lit tout seul, on ne s’en rend même pas compte. Il nous transporte dans un monde irréel, absurde, et c’est ça qui est bien. Ça sert à ça un livre : à voyager.
L’auteur aime bien mettre du ton, des sonorités, de l’exclamation, de l’interrogation : du tonique !!